Préconception et grossesse

Des cycles menstruels normaux, une activité hormonale régulée, un métabolisme énergétique solide sont autant d’éléments à favoriser pour concevoir et enfanter dans les meilleures conditions.


Des besoins physiologiques évolutifs

Pendant la grossesse et après l’accouchement, les besoins énergétiques et nutritionnels de la femme sont majorés en vue de maintenir l’homéostasie maternelle et de favoriser la croissance et le développement fœtal1. Une alimentation saine et adaptée constitue donc l’un des principaux facteurs d’influence de la santé de la future maman et de celle de son enfant, même à long terme. Or, la plupart des femmes débutent leur maternité en état de carence, et le phénomène a tendance à s’accentuer pendant les mois de grossesse.


Les risques d’un parcours parfois compliqué

Aujourd’hui, 1 couple sur 8 consulte en raison de difficultés à concevoir un enfant3 et 15 % des grossesses se soldent par une fausse couche avant la 14e semaine d’aménorrhées2. Plusieurs facteurs de risque sont avancés : le recul de l’âge du premier enfant4, l’hygiène de vie (ex : tabac, alcool, surcharge pondérale) et l’environnement avec par exemple le niveau d’exposition à la pollution ou aux perturbateurs endocriniens3. Une prise en charge médicale peut résoudre un certain nombre de troubles de la fertilité et la procréation médicalement assistée permet de contourner la plupart des difficultés. Les chercheurs tentent néanmoins de mieux comprendre les facteurs génétiques et environnementaux sous-jacents.


Prévenir les risques par l’alimentation

Menées chez l’homme et chez la femme, des études scientifiques ont montré l’impact du stress oxydatif sur la fertilité et le rôle prépondérant de l’alimentation pour créer un environnement favorable à la procréation et au bon développement du fœtus5,6. Des apports en oméga 3, en vitamine D ou en acide folique (Vit. B9) font partie des recommandations médicales6.

Le rôle de Densmore en tant que Laboratoire est de promouvoir aux côtés des spécialistes une approche « environnementale » visant à prendre en charge l’ensemble du couple pendant son projet de procréation. Nous développons des formules pointues qui intègrent les dernières avancées scientifiques en micronutrition.


Références :

1. Feldt-Rasmussen U, Mathiesen ER, Endocrine disorders in pregnancy: physiological and hormonal aspects of pregnancy, Best Pract Res Clin;Endocrinol Metab 2011;25:875-84

2. IVI Fertilité, Signes et symptômes d’une fausse couche, https://ivi-fertilite.fr/blog/signes-symptomes-fausse-couche/

3. EM Consulte. L’influence des perturbateurs endocriniens sur la fertilité humaine. Céline Chamoux. Hôpital privé Pays de Savoie. www.em-consulte.com/article/1027069/l-influence-desperturbateurs-endocriniens-sur%C2%A0la%C2%A0

4. INSEE, Un premier enfant à 28 ans, https://www.insee.fr/fr/statistiques/1281068 Guide de l’infertilité, Alimentation pour tomber enceinte : ces aliments et vitamines qui améliorent la fertilité, https ://www.guide-de-l-infertilite.fr/fr/actualites/article/alimentation-pour-tomber-enceinte-ces-aliments-et-vitamines-qui-ameliorent-la-fertilite

5. Raphael Gruman, nutritionniste spécialisé en micronutrition, http://www.leslouves.com/preconception-les-pouvoirs-secrets-de-notre-alimentation

6. Guide de l’infertilité, Alimentation pour tomber enceinte : ces aliments et vitamines qui améliorent la fertilité, https ://www.guide-de-l-infertilite.fr/fr/actualites/article/alimentation-pour-tomber-enceinte-ces-aliments-et-vitamines-qui-ameliorent-la-fertilite